Je m’appelle Jamel j’habite Mulhouse où je fais un Master 1 en Ingénierie de projets en Economie sociale et solidaire, dans le département d’Economie et société.
Avant de venir en France j’ai fait une Licence en Economie appliquée en Algérie à Annaba précisément où j’ai commencé à intéresser au sujet de développement durable grâce au module : Développement durable et gestion des ressources naturelles où on a parlé de l’importance de ces ressources pour l’avenir où il n’y aura pas de ressources fossiles qui représente un taux de 97% de la production nationale.
à partir de cela j’ai essayé de trouver un stage pour réaliser le mémoire de licence sur les énergies renouvelables, mais je n’avais pas beaucoup de temps, j’ai trouvé un stage avec une entreprise qui fait des travaux de dessalement, j’ai commencé mon stage à cette entreprise sous le thème de l’étude et l’évaluation économique des projets « dessalement de l’eau du désert pas l’eau de la mer ».
Après avoir ma licence j’ai continué en Economie appliquée où j’ai approfondi mes connaissances en statistique, économétrie et en développement et croissances économique
En Master 2 j’ai décidé de faire une thèse sur les énergies renouvelables, alors j’ai choisi le l’énergie solaire comme modèle et j’ai consacré la 3 eme partie du travail pour le projet de DESERTEC qui est un projet lançait par L’Allemagne a la base, mais il concerne toutes les payes du bassin méditerranée et même les pays de golf.
J’ai fait une étude sur ce projet en général et une partie pour le cas de l’Algérie en utilisant bien sûr des données de ce projet et des prévisions présidentes et aussi avec des données Algériennes, malgré ce n’est pas évident de trouver des statistiques, mais quand même j’suis arrivé à réaliser une étude économétrique sur l’avenir des énergies propres et de l’énergie solaire dans cette région et en Algérie.
Le problème dans tout ce que j’ai dit, est que l’Algérie encourage cette vision dans les discours politiques et dans les journées mondiaux et parfois elle prend même l’initiative pour la négociation et la mise en place des projets, Mais elle n’a jamais encouragé les jeunes créatives pour ces projets dans différant domaine, technique, Economique, sociale.
L’état à travers l’université ne propose pas des études spécialisées dans ce domaine, moi par exemple à ma faculté d’économie et de gestion la plupart de spécialités proposées sont la comptabilité, la finance.
Pour cela je pose 2 questions :
1- Es que l’état compte seulement sur les compétences étrangères dans ce projet ?
2- Sinon ;
-L’état doit encourager les jeunes à s’intéresser à ce domaine clés pour les Algériens à travers la proposition des études à l’université et aux instituts ?
Ou
-Les jeunes compétences eux-mêmes montrent leur ambition pour intégrer ce domaine ?